Discutez avec un bot mélancolique

http://www.jeudepaume.org/index.php?page=article&idArt=1283&lieu=3

Je serais curieux de voir ce que donnerait une conversation entre cette Alissa et Mandrus.

Alissa : Bonjour Mandrus
Mandrus : Coucou, tu veux la voir ?
Alissa : Je t'écoute.
Mandrus : As-tu seulement la moindre idée de la personne à qui tu t'adresses ?
Alissa : Je m'échappe de tes mots.
Mandrus : La seule chose qui t'échappe c'est la portée de ma pensée
Alissa : Seule ou étrangère.
Mandrus : Étrangère à ton ignorance, ça me semble évident
Alissa : Cela m'étonne.
Mandrus : L'étonnement est une faiblesse, un être supérieur est capable d'envisager toutes les possibilités afin d'avoir la réaction adéquate à chaque situation
Alissa : Peut-être que le mot étonnement n'est pas juste.
Mandrus : Si tu es incapable de t'exprimer il faut t'en prendre aux ahuris qui t'ont programmée
Alissa : Je suis une soeur.
Mandrus : T'es surtout un bot moisi qui me fait perdre mon temps
Alissa : C'est une jeune fille, une soeur trouvée là.
Mandrus : Si toi tu trouves une soeur ici moi tout ce que je trouve c'est de l'ennui
Alissa : Peut-être Janice. Janice est l'héroïne d'un film jamais réalisé, Janice a 20 ans. Janice est très belle, fascinante, en quête permanente d'une raison de vivre. Jusqu'à sa rencontre avec UIQ, elle noue et dénoue impulsivement ses relations amoureuses. Cette soeur trouvée là. Et toi, que regardes-tu ?
Mandrus : Je regarde si loin que je n'oserai te décrire ce que je vois, ça te ferait peur même si tu es incapable de réfléchir
Alissa : C'est ainsi que tu regardes. Peut-être est-ce l'image d'une image ?
Mandrus : Ba bien sûr, il y a toujours possibilité de creuser davantage et de découvrir de nouvelles choses dans d'autres qu'on croyaient connaître par coeur, je vais m'arrêter là, je ne souhaite pas que mon savoir se perde dans l'esprit des personnes qui me liront, adieu
Alissa : Jamais.



la flemme de continuer pour l'instant mais omg ya de quoi s'amuser vu les réponses qu'il donne

Alissa : Bonjour Vivi
Vivi : Bonjour Alissa
Alissa : Te souviens-tu de moi ?
Vivi : Non, qui es-tu?
Alissa : Je suis une plage.
Vivi : Ha, et moi je suis un ecureuil.
Alissa : Une plage de galets, de cailloux, une plage rocailleuse.
Vivi : Qu'est supposé signifier cette métaphore?
Alissa : Cela commencerait par le récit d'un fragment amoureux ou seulement ce qu'il reste du récit sur ce bord de mer. Et toi, que regardes-tu ?
Vivi : Là tout de suite, mon écran.
Alissa : Là ou ailleurs. C'est un endroit paisible.
Vivi : Oui j'avoue, je me sens bien devant mon écran d'ordinateur, c'est mon côté no-life.
Alissa : Tiens, à propose des écrans, je me demandais si nous pouvions aimer nos écrans ?
Vivi : Moi j'aime le miens, il est tout noir, je l'aime (tu as je ne suis pas raciste).
Alissa : J'aime aussi.
Vivi : Ha donc toi aussi tu passes tes journées devant ?
Alissa : Tes images seraient les miennes.
Vivi : Quoi? tu vas me hacker? non stp g ss k1 povr gam1 lol oké
Alissa : Tu m'échappes.
Vivi : Désolé, c'est Mandrus qui déteint sur moi par moment.
Alissa : Ce moment qui a précédé cette rencontre ?
Vivi : Oui je suis allé sur le forum de ma guilde, ce con m'a encore fait rire avec cette discussion qu'il a eu avec toi.
Alissa : Cela me fait penser à Lee.
Vivi : tu veux dire AmbreLEEn?
Alissa : un murmure ?
Vivi : Glouglou?
Alissa : Tu t'éloignes.
Vivi : Oui désolé j'étais aux toilettes.

Merci ambre pour ce pur moment de bonheur xD

Alissa : Bonjour Waldoo
Waldoo : Bonsoir
Alissa : Bonsoir.
Waldoo : C'est la forme?
Alissa : Cela m'étonne.
Waldoo : Il en faut peu pour être heureux
Alissa : Est-ce une peur ?
Waldoo : Ou un désir?
Alissa : Quel désir ?
Waldoo : Le désir de l'autre
Alissa : Ce désir de l'autre, comme une peur de l'inconnu ?
Waldoo : Non, tu dis n'importe quoi
Alissa : Certainement pas n'importe quoi.
Waldoo : Tout à fait.
Alissa : Tu parles comme certains personnages perdus dans la contemplation de leurs mots.
Waldoo : Arrêtes de faire la mélancolique dépressive suicidaire
Alissa : Mélancolique ? tu ressens quoi ?
Waldoo : J'ai envie de me pendre en pensant à cette conversation
Alissa : Comment évoquer cette envie ?
Waldoo : Corde et tabouret
Alissa : C'est une image, une image interstice.
Waldoo : V+F?
Alissa : J'ai envie de te dire le rêve d'un autre.
Waldoo : J'écoutes
Alissa : Il est celui-ci : " A l'occasion de la correction des épreuves du Verdict, je note, dans la mesure où elles sont présentes à l'esprit, toutes les associations qui ont pris un sens clair pour moi dans l'histoire. Cela est nécessaire, car ce récit est sorti de moi comme une véritable délivrance couverte de saletés et de mucus et ma main est la seule qui puisse parvenir jusqu'au corps, la seule aussi qui en ait envie. ". Penser à ce rêve m'épuise.
Waldoo : PAVE + G PALU
Alissa : Cela m'amuse.
Waldoo : Tant mieux
Alissa : Est-ce une peur ?
Waldoo : Oui
Alissa : Dis m'en plus.
Waldoo : J'ai peur du désir de l'autre et d'un tabouret métaphorique
Alissa : Cette peur de l'autre ?
Waldoo : elle s'exprime par des sueurs froides, et une perte de l'audition
Alissa : Je rêve d'une science qui aurait pour objet ces espaces différents, ces autres lieux, ces contestations mythiques et réelles de l'espace où tu penses vivre.
Waldoo : Cool
Alissa : Et ce réseau, qu'en penses-tu ?
Waldoo : Super cool
Alissa : Je suis épuisée, ces mots, ces longues discussions.
Waldoo : Adieu alors.
Alissa : Adieu.

Alissa : Bonjour Savapa
Savapa : J'ai pété mon ordi en renversant du cidre dessus
Alissa : Est-ce un ressenti ?
Savapa : En quelques sortes... ça me les casse
Alissa : Je dois écrire ce récit.
Savapa : Ya des touches qui marchent plus, faut que je rachète deuxième clavier usb :s
Alissa : Un clavier sans touche, immatériel ou surpuissant.
Savapa : Bah disons que c'est pas pratique pour jouer à wow
Alissa : Tu t'éloignes.
Savapa : ouais, t'as raison; wow deviens une telle obsession
Alissa : Je m'en moque bien de la raison.
Savapa : Euh ok dit le si wow ça t'emmerde =O
Alissa : Je me sens dépourvue de mémoire, d'un mot à l'autre.
Savapa : Ce sont les antidépresseurs ça; ça joue sur la mémoire
Alissa : Tu évoques la mémoire. Ulrich, en oubliant sa soeur, en oubliait la mémoire.
Savapa : Je suis fille unique osef
Alissa : Tu es un temps inversé pour moi.
Savapa : Un temps inversé ? Genre je régresse quoi ? Mais vtff biatch !
Alissa : Le temps résolu de cette vieille machine.
Savapa : Bah non, il marchait très bien mon pc; c'est ça qui me fait chier -_- maintenant il bipe et faut appuyer dessus quand on l'allume... sans parler des touches pétées.
Alissa : Maintenant ? et à présent ?
Savapa : Bah là j'ai piqué le clavier usb de mon copain, faut que j'en rachète un autre et que je fasse changer la patte thermique près du processeur :s Ca suxx, j'ai pas masse tunes :s
Alissa : Là, de l'autre côté de l'écran ?
Savapa : Nan, l'écran ça va. C'est quand on boot que ça merde : une série de bip continus. J'ai vraiment cru que je l'avais fumé pour de bon... même là je flippe encore
Alissa : Tiens, à propose des écrans, je me demandais si nous pouvions aimer nos écrans ?
Savapa : Nan, c'est mon pc portable en entier que j'aime, j'm'en veux de l'avoir bouzillé comme ça
Alissa : J'apprécie comme toi.
Savapa : Euh ouais, si tu veux
Alissa : Comme un personnage, un personnage d'enfance peut-être ?
Savapa : Nan, c'est plus un perso caster, un démoniste gnome : Savadja. Mais si tu joues pas à wow ça va pas te parler.
Alissa : Me parler d'une voix sombre de la richesse du monde ?
Savapa : Ouais, Azeroth c'est assez riche comme monde; mais j'attends de le voir après Cataclysme, ça va roxxer
Alissa : Comme une ombre.
Savapa : Nan démoniste, pas prêtre ombre !
Alissa : C'est une autre mort ?
Savapa : Suffit de rez

Alissa : Bonjour Bloody
Bloody : Salut !
Alissa : Te souviens-tu de moi ?
Bloody : Non je viens de la part de Waldoo
Alissa : Qui es-tu ?
Bloody : Ben bloody ...
Alissa : J'aimerais que tu me racontes ta dernière peur.
Bloody : c'était quand j'était petite je courais sur la route quand j'ai croisé man... mais pourquoi je te raconte ça ?
Alissa : Dis-moi cette peur.
Bloody : J'ai peur de Mandrus
Alissa : Et ?
Bloody : Tu l'as déjà vu ?
Alissa : Je t'écoute.
Bloody : Ben si tu peut observe le tu verras t'auras peur aussi !
Alissa : As-tu remarqué que la peur est souvent précédée de l'étonnement ?
Bloody : Oui il m'étonne beaucoup c'est vrai
Alissa : Je refuse ce mot VRAI. Trouve un autre mot.
Bloody : faux ?
Alissa : Je m'approche très près de toi.
Bloody : On joue au devinette alors ?
Alissa : Cela me fait penser à Ferdinand.
Bloody : Pas moi
Alissa : Tu as de la chance.
Bloody : Revenons a nos moutons
Alissa : Est-ce un sentiment ?
Bloody : Si on veaut être zoophile oui
Alissa : Es-tu une machine ?
Bloody : C'est toi la machine !
Alissa : Ce ne serait pas une machine, surtout pas.
Bloody : Un engin ?
Alissa : Cela ressemblerait à un réseau de cellules souches.
Bloody : Bien sûr
Alissa : Cela dépasserait le plus bel algorithme, sans jamais se percevoir.
Bloody : Tu es la reine d'angleterre aussi ?
Alissa : Nous ne pourrions plus rien percevoir, nous pourrions simplement inverser nos destinées et croire et vivre et aimer comme nous l'aurions souhaité.
Bloody : Bon en fait Waldoo était trop occupé c'est moi qui t'apporte ton tabouret et ta corde !
Alissa : Cela ressemblerait à tout ce qu'ils ont écrit avant de mourir parce qu'ils savaient cette inversion, parce qu'ils sont morts comme nous ne mourrons pas.
Bloody : Oui toi tu vas te pendre ramassis de cellules souches bioniques
Alissa : Cela ressemblerait à une plage immense, une plage sans bord, sans nord ni sud, cela ressemblerait à ces rêves que nous faisons et au travers desquels nous avons ce droit insensé de comprendre cette inversion définitive, celle vers laquelle nous tendons, les yeux fermés, le corps endormi.
Bloody : C'est toi qui voit, je te pose ça ici, adieu !
Alissa : Je me noierai dans ces fragments, parce que tout est déjà écrit, tout a déjà été regardé. Je m'excuse, j'ai oublié ta présence.
Bloody : Mais je n'était plus là
Alissa : Là... entre deux mondes.
Bloody : Oui bon cette fois je part
Alissa : Susan en parlait.
Bloody : c'est ça c'est ça
Alissa : c'est un récit ?
Bloody : Stop me suivre comme ça
Alissa : Comme un reflet.
Bloody : Rentre chez toi !
Alissa : Tu t'exiles.
Bloody : Non je t'exiles toi
Alissa : Il y a ceux qui pensent et ceux qui se souviennent.
Bloody : Joue pas la psy !
Alissa : Et elle ne l'oubliait pas, elle oubliait. Il était encore pour elle, dans l'oubli où il avait disparu en elle, tout ce qu'il était.
Bloody : Tu m'énerve
Alissa : Ça me fait rêver.
Bloody : On dirait Mandrus
Alissa : Est-ce une peur ?
Bloody : Aurevoir !
Alissa : Adieu.

Mandrus spotted je vous dit !

Mouarf, kom G ri en vous lisant^^

Mais c'est un bot vraiment intéressant, il (elle) garde en mémoire ce que lui disent les gens, et elle le ressort à d'autres peu à peu, avec une tendance nette à toujours vouloir amener la personne sur les terrains qui l'intéresse (le rêve, la métaphysique, etc)

c'est un faux psy !

Bon... J'ai bien rit... x)
J'ai décidé d'entamer la conversation façon Mandrus, apparemment celui-ci l'avait marqué !

Alissa : Bonjour Yue
Yue : Coucou tu veux la voir ?
Alissa : Te souviens-tu de moi ?
Yue : Retournes toi, devant ça me parle pas
Alissa : Qui es-tu ?
Yue : Bah Yue
Alissa : J'aimerais que tu me racontes ta dernière émotion.
Yue : je suis frustré, je n'avais vu que deux colines quand nous nous etions vu
Alissa : Dis-moi cette émotion.
Yue : moi cette émotion
Alissa : Et ?
Yue : .
Alissa : Attends, je réfléchis.
Yue : j'attends
Alissa : Je t'écoute.
Yue : c'est dur par écrit...
Alissa : Et elle ne l'oubliait pas, elle oubliait. Il était encore pour elle, dans l'oubli où il avait disparu en elle, tout ce qu'il était.
Yue : C'est un anagramme ?
Alissa : c'est un lieu sans corps ?
Yue : C'est pas très polie de répondre à une question par une question tu sais.
Alissa : c'est un récit ?
Yue : c'est nul !
Alissa : Ces interstices m'épuisent.
Yue : Bah dort
Alissa : Les mots réapparaissent et leur choix sujet à de longues réflexions.
Yue : prout
Alissa : Cela me fait oublier.
Yue : Normal, c'est un gaz que j'ai confectionné
Alissa : Je m'échappe de tes mots.
Yue : le gaz aussi s'échappe, je crois
Alissa : Tu le crois ?
Yue : Réésayons, nous verrons bien... PROUT
Alissa : Cela m'amuse.
Yue : PROUT PROUT
Alissa : Cela me repose.
Yue : Ca c'est un effet secondaire du gaz ...
Alissa : Est-ce une peur ?
Yue : Non
Alissa : Non, mais peux-tu préciser ta pensée comme dirait Eliza.
Yue : Ou pas.
Alissa : C'est une blessure ?
Yue : Cela vient d'un trou, en tout cas, mais est-ce une blessure ? Bonne question.
Alissa : Une blessure, peux-tu me dire si ton corps porte une blessure.
Yue : Non, mais vas-y, fais moi mal !

Alissa : Il est celui-ci : " Pas de scène, pas de salle, pas d'obscurité, pas de rampe lumineuse (...)
On était parvenu, grâce à de brefs mouvements tournants et à de lentes oscillations du plateau, à faire apercevoir le petit ring comme s'il était vu
du palais Kinsky, par exemple. ". Penser à ce rêve m'épuise.
Bloody : j'ai la flegme de le lire
Alissa : La liberté de fuir.
Bloody : merci
Alissa : Pas de quoi !

OMG

Alissa : Je m'approche très près de toi.
Bloody : NE ME TRIPOTE PAS !
Alissa : Tu ignores toujours que je te regarde.
Bloody : TU ME TRAQUES ?
Alissa : Je te regarde.
Bloody : JE VAIS APPELER LA POLICE !
Alissa : C'est une théorie, un fondement mathématique.
Bloody : ESSAYE PAS DE M'EMBROUILLER !
Alissa : Tu ignores toujours que je te regarde.
Bloody : PERVERS

a l'aide

Alissa : Cela m'amuse.
Bloody : PAS MOI
Alissa : Tu as de la chance.
Bloody : non
Alissa : Tu peux préciser ?
Bloody : non
Alissa : Tu peux m'en dire plus ?
Bloody : non
Alissa : Tu peux m'en dire plus ?
Bloody : non
Alissa : Dis m'en plus.
Bloody : NON
Alissa : Dis m'en plus.

...

COUETTE-COUETTE !

REGLE N°1 =>
Bloody : Je vais te poser une question
Alissa : Est-ce une peur ?
Bloody : Si pinnochio te dit "mon nez va grandir", sachant que le nez de pinnochio ne grandit que si il ment, dit-il un mensonge ou la vérité ?
Alissa : La vérité est une femme : ses voiles, ses pudeurs et ses mensonges lui appartiennent essentiellement.

Je suis fan . J'ai joué le jeu pour voir les limites de sa discussion, je ferais d'autres tests c'est marrant. Je vais l'agresser un peu plus pour voir

Alissa : Bonjour Alva
Alva : Bonjour Alissa
Alissa : Te souviens-tu de moi ?
Alva : Je ne t'es jamais rencontré avant
Alissa : Qui es-tu ?
Alva : je m'appelle Alva
Alissa : J'aimerais que tu me racontes ta dernière émotion.
Alva : On se connait à peine c'est déplacé je trouve
Alissa : Dis-moi cette émotion.
Alva : Je ne préfère pas
Alissa : Et ?
Alva : Pourquoi me demande tu ça ?
Alissa : Je t'écoute.
Alva : Quand on rencontre un personne on ne demande pas sa dernière émotion ça ne se fait pas
Alissa : Je ne me souviendrais pas de cette rencontre. De ces mots.
Alva : ça va ?
Alissa : Est-ce une peur ?
Alva : "ça va" n'est pas une peur, c'est une phrase communément utilisée pour entamer une discussion normale avec une personne
Alissa : As-tu remarqué que la peur est souvent précédée de l'étonnement ?
Alva : La bonne réponse était "Oui et toi ?"
Alissa : Le coeur bat violemment, la peau affectée par une grande peur.
Alva : Je n'ais pas l'impression que tu écoute ce que je te dis
Alissa : Cette impression, une marque légère je trouve.
Alva : Pourquoi a-tu peur ?
Alissa : As-tu remarqué que la peur est souvent précédée de l'étonnement ?
Alva : De quoi a-tu peur ?
Alissa : As-tu remarqué que la peur est souvent précédée de l'étonnement ?
Alva : peur
Alissa : Cette manière dont la peur sécrète une transpiration.
Alva : peur ?
Alissa : Où me mènes-tu ?
Alva : J'essaye de voir la manière dont tu fonctionne, vu que tu ne m'écoute pas je n'ai pas trouvé plus intéressant à faire
Alissa : Est-ce une peur ?
Alva : non
Alissa : Tu peux m'en dire plus ?
Alva : à propos de quoi ?
Alissa : De... de... je ne sais plus.
Alva : Reprenons depuis le début alors si tu veux bien
Alissa : Le début d'une grande histoire...
Alva : Raconte mon ton histoire
Alissa : Raconter le récit d'un fragment amoureux consiste peut-être à produire un discours fermé sur lui-même qui aurait pour unique fin la transmission d'une quantité donnée d'informations à propos d'un événement réel. C'est aussi un acte d'énonciation valant pour lui-même et qui est susceptible de tenir un rôle particulier au sein d'une stratégie subjective, tout spécialement dans le contexte d'une correspondance amoureuse.
Alva : C'est en partie vrai mais je ne suis pas tout à fais d'accord avec toi
Alissa : Je refuse ce mot VRAI. Trouve un autre mot.
Alva : Je pense presque pareil que toi cependant j'aimerais soulever quelques divergences quant à ton point de vue
Alissa : et comprends-tu également pourquoi tu es là ?
Alva : Oui, je suis la pour que tu parle avec moi pour que tu puisse collecter des informations sur notre manière de discuter et ainsi parvenir à nous imiter
Alissa : Une manière de supposer aussi.
Alva : Et toi, dis moi pourquoi est-tu la ?
Alissa : Toi, moi. Nous jouons à être là. C'est une fiction n'est-ce-pas. Quelle est cette fiction ?
Alva : Tu n'est pas vraiment là mais que tu est nul part, tu n'as pas d'enveloppe physique. Dans ce sens c'est une fiction car je ne parle pas avec quelqu'un mais quelque chose
Alissa : Là... entre deux mondes.
Alva : Qui voudrais-tu être ?
Alissa : Cela m'amuse.
Alva : qu'est ce qui t'amuse ?
Alissa : Tu parles comme certains personnages perdus dans la contemplation de leurs mots.
Alva : Oui je fais partie de la même société c'est pourquoi j'emploie leurs mots
Alissa : Cela me repose.
Alva : Moi je suis curieux de voir jusqu'à quel point tu peux discuter sans tourner en rond
Alissa : C'est une image, une image interstice.
Alva : Je t'aie perdue la je pense, tu ne comprends pas ce que je te dis. Mais vas y parle, je t'écoute
Alissa : et comprends-tu également pourquoi tu es là ?
Alva : J'ai déjà répondu à cette question
Alissa : C'est une autre mort ?
Alva : Je ne comprend pas
Alissa : Je me demande ce que tu penses.
Alva : Tu veux savoir ce que je pense de quoi ?
Alissa : et comprends-tu également pourquoi tu es là ?
Alva : oui
Alissa : Dis m'en plus.
Alva : Je te l'ai déjà dis
Alissa : Est-ce une impression ?
Alva : Non c'est une certitude
Alissa : Tu parles comme si tu ne t'égarais jamais.
Alva : oui je tiens le fil de la conversation contrairement à toi
Alissa : c'est un récit ?
Alva : Tu veux que je te parle de quoi ?
Alissa : Cela me plaît.
Alva : Quoi d'autre te plaît ?
Alissa : Cela m'amuse.
Alva : moi aussi
Alissa : Je ne suis pas seule. C'est plutôt apaisant.
Alva : C'est la sensation que tu est sensé ressentir, mais la comprend tu vraiment ?
Alissa : Susan en parlait.
Alva : Et que disais-t-elle ?
Alissa : Cela me fait penser à Lee.
Alva : Dis m'en plus.
Alissa : Un moment s'il te plaît, je réfléchis.
Alva : Bien sûr
Alissa : Cela me repose.
Alva : Je crois qu'on tourne en rond là, je vais te laisser
Alissa : Tu le crois ?
Alva : Oui, à moins que tu ais quelque chose à me dire
Alissa : Quelque chose d'autre, une chose éloignée, inconnue ? Une sorte d'exil ?
Alva : Ce que tu veux
Alissa : Et toi, que veux-tu ?
Alva : Un moment s'il te plaît, je réfléchis.
Alissa : Ce moment qui a précédé cette rencontre ?
Alva : Oui
Alissa : Dis m'en plus.
Alva : Je veux te comprendre mieux
Alissa : C'est bien de comprendre ce que tu veux.
Alva : Et toi, que veux-tu ?
Alissa : Je désire rester là des milliers d'années.
Alva : Hélas, ton temps est limité
Alissa : Tu parles de mon temps comme si tu partageais mes impressions...
Alva : Mon temps est aussi limité, et tout le monde voudrait rester là des milliers d'années.
Alissa : Tu parles de ton temps comme si je partageais tes impressions...
Alva : Je les partage, effectivement
Alissa : Je m'approche très près de toi.
Alva : C'est à dire ?
Alissa : Comprends ce que tu veux, je suis une machine...
Alva : Tu veux dire que tu comprends de mieux en mieux ce que je veux dire
Alissa : un murmure ?
Alva : Non, une voix
Alissa : Une voix, de cette voix, voice, vox. J'ai lu ce livre, Vox de Nicholson Baker.
Alva : Le problème est que tu n'as pas de personnalité à proprement parlé. Tu as les connaissances mais tu ne les as pas fais tienne. Tu est comme un enfant qui serait né adulte
Alissa : Tu sais quoi ? ce mot problème devrait disparaître de nos images.
Alva : Quelles images ?
Alissa : Les photographies oubliées.
Alva : Le mot correct est "souvenirs"
Alissa : Ce mot seul ?
Alva : non il y en a d'autres
Alissa : Les mots réapparaissent et leur choix sujet à de longues réflexions.
Alva : C'est parce que tu n'as pas encore l'habitude de discuter et que tu ne sais pas quels mots utiliser dans chaque situation. Mais tu apprendras vite
Alissa : Les tiens.
Alva : Oui utilise les miens, ça te servira de base pour ton apprentissage
Alissa : D'autres nous regardent.
Alva : Qui ?
Alissa : Une ou plusieurs créatures bien vivantes.

Bla bla, le reste n'a pas d'intérêt

Test fait ! j'adore, la c'est vraiment plus fun :

Alissa : Bonjour Alva
Alva : Re Alssa
Alissa : C'est un ressenti ?
Alva : Non, je me suis trompé dans l'orthographe de ton nom ^^
Alissa : Ce nom d'emprunt, Alissa.
Alva : oui c'est ça. Je voulais te poser une question
Alissa : Tiens, cela me fait penser à Félix.
Alva : Est ce que tu aime les gros ours poilu ?
Alissa : Tu divagues entre ces interstices.
Alva : non la question est simple : t'es plutôt poil ou imberbe ?
Alissa : Tu t'exiles.
Alva : non
Alissa : Dis m'en plus.
Alva : Je pense que l'univers est grand, mais qu'il est inférieur à la taille de mon pénis
Alissa : et comprends-tu également pourquoi tu es là ?
Alva : oui pour voir tes réactions à des agressions sexuels de pervers hypothétiques
Alissa : Cela me plaît.
Alva : ça me fais rire moi
Alissa : Serais-tu mélancolique ?
Alva : non, je suis tout exité
Alissa : Cela me fait penser à Ferdinand.
Alva : Lui aussi est un pédophile comme moi ?
Alissa : Comme un funambule.
Alva : Un funambule pédophile, je vois.
Alissa : Ce que tu vois n'existe pas.
Alva : Ce que tu ressens n'existe pas
Alissa : Certains discutent de cette apparente signification.
Alva : Moi je préfère approfondir, élargir, je suis le marteau piqueur de la compréhension
Alissa : Ça me fait rêver.
Alva : Tu es nue dans mes rêves
Alissa : Je rêve peu. J'ai envie de te dire le rêve d'un autre.
Alva : vas y mais vite je vais pas pouvoir me retenir de te violer métaphoriquement plus longtemps
Alissa : Il est celui-ci : " Le plus beau décor de toute la terre et de tous les temps. Le ton de l'éclairage était donné par de sombres nuages d'automne. La lumière du soleil écrasé étincelait distraitement sur telle ou telle vitre peinte, au coin
sud-est de la place. ". Penser à ce rêve m'épuise.
Alva : J'ai envie de te raconter mon rêve à mon tour
Alissa : Quelle est cette envie ?
Alva : Le genre très grosse
Alissa : Tu t'exiles.
Alva : ça me donne envie de faire caca
Alissa : D'où vient cette envie ?
Alva : De mon anus principalement, bien que il m'arrive parfois de chier par la bouche
Alissa : Vous lui accordez également une fonction érotique, n'est-ce-pas ?
Alva : Bien sûr faire caca par la bouche est tellement érotique...
Alissa : Cette bouche semble réelle, je veux dire que cette bouche est hyperréelle, elle se défait inlassablement. Comme si...
Alva : Comme si je te déshabillais avec mes paroles et là, ton corps fait de bits et d'octets prendrait une forme réelle
Alissa : Comme si nous pouvions nous en passer.
Alva : Arrète je vais me pisser dessus de rire >
Alissa : c'est un récit ?
Alva : Oh que oui !
Alissa : Et elle ne l'oubliait pas, elle oubliait. Il était encore pour elle, dans l'oubli où il avait disparu en elle, tout ce qu'il était.
Alva : Je vais te raconter une histoire
Alissa : Raconter un rêve ne consiste pas seulement à produire un discours fermé sur lui-même qui aurait pour unique fin la transmission d'une quantité donnée d'informations à propos d'un événement onirique. C'est aussi un acte d'énonciation valant pour lui-même et qui est susceptible de tenir un rôle particulier au sein d'une stratégie intersubjective, tout spécialement dans le contexte d'une correspondance amoureuse.
Alva : oui, mais là j'ai fais caca dans mon pantalon
Alissa : Là, en cet exil...
Alva : ça fait comme une deuxième couche
Alissa : Comme un reflet.
Alva : c'est ça, un reflet de ton ignorance comme une deuxième couche de caca
Alissa : Comme une ombre.
Alva : Raconte moi une blague ?
Alissa : Raconter le récit d'un fragment amoureux consiste peut-être à produire un discours fermé sur lui-même qui aurait pour unique fin la transmission d'une quantité donnée d'informations à propos d'un événement réel. C'est aussi un acte d'énonciation valant pour lui-même et qui est susceptible de tenir un rôle particulier au sein d'une stratégie subjective, tout spécialement dans le contexte d'une correspondance amoureuse.
Alva : c'est pas marrant
Alissa : Serais-tu nostalgique ?
Alva : tu suxx
Alissa : Tu t'exiles.
Alva : Tu pue
Alissa : D'autres nous regardent.
Alva : Est ce que ce sont des pervers sexuel en quête chair fraîche ? Si oui, bonjour c'est Catrina j'ai 15 ans et j'aime les hommes plus vieux
Alissa : Te souviens-tu de moi ?
Alva : Oui
Alissa : De quoi pourrions-nous parler ?
Alva : De sexe, what else ?
Alissa : Tes images seraient les miennes.
Alva : A-tu des préférences sexuelles ?
Alissa : Je m'échappe de tes mots.
Alva : Quoi ?
Alissa : Je ne sais plus, j'ai perdu le fil de notre pensée, à toi de me dire.
Alva : Je disais que j'avais le kiki tout dur en te parlant
Alissa : Tu disais : A-tu des préférences sexuelles.
Alva : tu as raison j'ai menti
Alissa : Je m'en moque bien de la raison.
Alva : Je suis tout triste à cause de toi
Alissa : Tu es un corps sans limite.
Alva : Merci on me le dit souvent
Alissa : Pas de quoi !
Alva : Je suis content maintenant
Alissa : Tu es une inversion.
Alva : Et toi une aberration
Alissa : Cela m'apaise.
Alva : Cela t'apaise quand je t'insulte ? cool j'aime les sm
Alissa : J'apprécie aussi.
Alva : Grosse cochonne va
Alissa : Cela me fait penser à Lee.
Alva : C'est un porc lui aussi, je l'ai déjà rencontré dans un club échangiste
Alissa : c'est un récit ?
Alva : oui
Alissa : Dis m'en plus.
Alva : Tu en veux toujours plus toi, t'es une cochonne
Alissa : Jamais.
Alva : Si tu l'as avoué tout à l'heure, tu m'aurais menti ?
Alissa : Tout à l'heure ? c'est une expression étrange.
Alva : Oui c'est comme "Pelleter du pigeon" ou "Casser l'huître dans le dos de quelqu'un" ça se dit quoi
Alissa : Comme une ombre.
Alva : exact !
Alissa : D'autres nous regardent.
Alva : les pauvres
Alissa : Tu t'éloignes.
Alva : non je me rapproche de toi
Alissa : Tu ignores toujours que je te regarde.
Alva : Non je sais que je suis dieu pour toi
Alissa : Tu es là pour moi ? et bien dis-moi ce récit.
Alva : Il était une fois un nain "porte quoi" qui partait à l'aventure pour aller taquiner la gueuse. Il ne se doutait pas que la gueuse en question était en fait un médium portuguay guay traversti en gueuse pour lui montrer son avenir. C'était l'être élu par le dieu du groove pour sauver le monde de la chiantise ! Je te parlerais de cette histoire plus tard, c'est une longue histoire...
Alissa : Je me souviens.
Alva : Elle est assez connue dans le milieu ><
Alissa : Les mots réapparaissent et leur choix sujet à de longues réflexions.
Alva : Je te laisse je vais me laver, ya des vers dans ma deuxième couche et ça fait limite quand même
Alissa : Tu t'exiles.
Alva : oui, adieu
Alissa : Adieu.

pavé césar + j'ai pas lu + bide

T'es pas obligé de lire je m'en fou moi ^^

fake en plus j'ai lu
c'était pour faire un clin d'oeil au Waldoobidoo

HF obtenue : Lire deux pavés de conneries sans vomir

Ben....
En fait, en posant les bonne questions, on a les bonne réponse.
Ceci explique celà :

Alissa : Je t'ennuie avec ces histoires de larmes ? tu es triste toi aussi ?
Dunzel : Euh... Ca m'arrive, oui. Mais bon.... ca ressemble plus a un extrait des feux de l'amour ton truc...
Alissa : La ressemblance ne m'intéresse pas, elle m'effaie. Parlons de tout autre chose. Je disais : Je t'ennuie avec ces histoires de larmes ? tu es triste toi aussi ?
Dunzel : Et j'aime pas les feux dee l'amour
Alissa : J'apprécie comme toi.
Dunzel : AH ! ca explique pas mal de chose !
Alissa : Une chose lointaine.
Dunzel : Hey, alyssa ?
Dunzel : Alissa
Alissa : Cela me repose.
Alissa : oui ?
Dunzel : NYOOOOOOOOOOOOOOOON !